Un terminal d'aéroport. Une brasserie française. Les rues de la ville. UNE supermarché. Côté décors de défilés, Chanel gagne Semaine de la mode parisienne à chaque fois avec ses décors fous et élaborés, "il faut le voir pour le croire" (et bien sûr, la mode aussi). Et c'est grâce à Karl Lagerfeld, l'homme qui se surpasse chaque saison en transformant le Grand Palais en paradis Chanel, même avec un piste nue avec un thème sans thème. Pour le défilé du printemps 2017, le Kaiser a récidivé, avec une piste « data center » et une première rangée étoilée. Faites défiler pour un aperçu des six moments les plus animés de l'émission.
1. Lagerfeld a fait sa magie de piste et a converti le Grand Palais en centre de données Chanel, avec des rangées de serveurs informatiques (note latérale: pensez-vous que les montres Karl Silicon Valley? Ou Monsieur Robot ?).
2. Avec une piste comme celle-là, il faudrait des robots. Le spectacle s'est ouvert avec deux mannequins qui ont enfilé des masques de robot et ont complété leur couvre-chef avec des ensembles féminins en tweed Chanel.
3. Mis à part les robots, il n'y avait pas de version super littérale de la "mode futuriste". Au lieu de cela, des tweeds colorés, des imprimés néon et des séparations faciles constituaient la gamme du printemps 2017.
4. Et ce ne serait pas Chanel sans une multitude d'accessoires convoités, qui comprenaient des casquettes de baseball aux couleurs coordonnées qui étaient portées sur le côté, beaucoup de boucles d'oreilles simples (certains doubles C, certains motifs floraux complexes), de sacs à main imprimés au néon, d'escarpins blancs à la cheville et d'un médaillon pendentifs.
5. Lagerfeld a recruté une élite de mannequins: Binx Walton, Taylor Hill, Anna Ewers, Lexi Boling, Edie Campbell, Cat McNeil, Kye Howell et Mica Arganaraz.
6. Et enfin, Lily-Rose Depp a presque volé la vedette avec son désormais célèbre couvement. Parmi les autres premiers rameurs, citons maman Vanessa Paradis, Courtney Love avec sa fille Frances Bean Cobain et Usher.
Crédit: Bertrand Rindoff Petroff/Getty